Une note sucrée pour la fin

Nous ne voulions pas quitter la Bolivie sans visiter celle qui revendique avec force son statut de capital du pays : la ville de Sucre. En plus, sa douceur de vivre est reconnue et c’est une étape recommandée pour se reposer des rigueurs de l’altiplano ! Idéal car malgré nos quelques jours à Potosí, Jean-Noël souffre encore du mal des montagnes.

DSCN0055Notre hôtel s’appelle « la Dolce Vita » tout s’annonce bien !! Et en effet, Sucre est une ville où il fait bon vivre et bon flâner.

DSCN0096DSCN0042DSCN0059De placette en marché, de parc en mirador, nous profitons du soleil et faisons nos dernières courses de souvenirs. La place d’armes est superbe et tient plus d’un parc avec ses vieux arbres, ses palmiers immenses, ses pigeons et ses promeneurs.

DSCN0095Le dimanche, les sucreños sortent au Parc Bolivar. Nous faisons de même, avant de monter en fin d’après-midi au mirador de la Recoleta… Bref, au ralenti !

Nous commençons à ranger nos affaires et à optimiser nos sacs pour caser nos achats. C’est fou de se dire que ces trois mois de vadrouille sud-américaine sont en train de prendre fin !

Vol sans problème vers notre dernière ville étape : Santa Cruz de la Sierra, la capitale économique du pays. En arrivant, nous nous faisons la remarque que les grandes avenues droites et planes, les palmiers, les zones commerciales et industrielles qui se succèdent ressemblent pas mal à l’entrée de Casa !!!

DSCN0111DSCN0116DSCN0114Nous avons une petite demi-journée pour découvrir la vieille ville. Maisons coloniales avec des balustrades de bois, place d’arme, cathédrale, vendeurs de glace à tous les coins de rue, chaleur… c’est une ville un peu alanguie qui me fait penser à ce que je ne connais pas de la Louisiane !!

Dernière soirée de nos grandes et belles vacances… si longtemps rêvées et déjà terminées : nous nous payons un bon resto. Bon, pas un resto gastronomique, mais un cadre sympa et autre chose dans l’assiette que du riz et une milanesa de pollo !! Et c’est bien agréable. Le lendemain, juste le temps de boucler nos sacs et de saluer Simon et Manuela, les deux toucans rigolos qui habitent dans le patio arboré de notre hostal et c’est parti !

ADIOS BOLIVIA !