Reykjavik et Keflavik, les villes principales du pays n’ont déjà pas des allures de métropole…mais les petites communes que nous avons traversées sont à peine des villages à l’échelle du ce que nous connaissons.

Quelques maisons éparpillées, aucun bâtiment imposant qui défigure le paysage. Souvent une piscine, une station service et une superette Bonus décorée d’un cochon qui louche.

Les ports de poche sont de vraies cartes postales avec leurs petits bateaux colorés et le reflet des montagnes enneigées.


Les églises ont parfois de drôles de formes évocatrices de la mer, de la pêche. On ne voit pas grand monde dans les rues… il faut dire que soit les trottoirs gelés ou le vent en rafales n’invitent pas franchement à la balade.

On imagine une vie très tranquille de travail et de plaisir simples centrée sur la famille et la petite communauté.

A Keldur, nous sommes allés voir l’un des plus anciens villages de l’île : un alignement de maisons traditionnelles semi-enterrées sous leur toit de tourbe enherbée, une église et son cimetière de tumulus tous simples.
