Nous posons le pied sur le sol Islandais à Keyflavik, aéroport international, et le sol est bien glissant ! La température n’est pas extrême, mais on nous avait prévenu, le vent est traître ! Le temps de récupérer notre voiture et nous voici en route vers la capitale !
350 000 Islandais, dont 60% à Reykjavik… Une toute petite ville en somme à côté des 5 millions du grand Casablanca. Nous nous perdons en conjectures sur la gestion de l’Etat Islandais… et l’incroyable diversité de compétences et de ressources humaines nécessaire pour développer des infrastructures, des commerces, des services, de la culture, de l’enseignement, de la santé, etc… à une si petite échelle.
Notre halte du soir est une auberge de jeunesse bobo bio à l’ambiance vintage sympa… des boules Quies sont à la disposition des hôtes à la réception, hum hum ! Rester jeunes et bobos a un prix ! L’hôtel est complet, donc nous partageons notre dortoir avec un américain pas causant et un italien loquace et content de parler français !
Découverte le nez au vent du centre ville dominé par une étrange cathédrale en forme de fusée. C’est coquet : petites maisons de couleurs, commerces et cafés-restos cosy qui donnent envie de se mettre au chaud. Nous allons jusqu’au vieux port puis rentrons nous mettre au chaud dans le superbe centre culturel Harpa au design audacieux. Dîner d’un fish and chips délicieux dans une brasserie chaleureuse, puis concert jazz à Kex hostel… et nous voici bien au chaud dans notre dortoir.
Avant de quitter Reykjavik, nous visitons le musée national pour nous faire une idée de l’incroyable saga islandaise depuis les premiers colons en 800 jusqu’à la nation écolo et moderne d’aujourd’hui, Mecque du tourisme vert.
En route vers le nord… 
On the TREQ again 